Êtes-vous impliqué dans une affaire

liés à LIBERTÉ E

INDEMNITÉ SEXUELLE ?

Si vous avez été victime d’un délit de harcèlement sexuel, sachez que vous pouvez commencer à faire valoir vos droits, assisté d’un avocat pénaliste, qui défendra vos droits.

De même, si vous avez été dénoncé pour un délit lié à  la liberté et à l’indemnisation sexuelles,  nous pouvons également vous conseiller et vous assister dans vos déclarations au commissariat ou au tribunal.

TYPES DE CRIMES SEXUELS

  • Agressions sexuelles
  • abus sexuel
  • harcèlement sexuel
  • Cyberintimidation sexuelle
  • Furtivité
  • Exhibitionnisme et provocation
  • La prostitution

Questions préliminaires
Compte tenu des dernières modifications apportées par le législateur, nous jugeons opportun de faire une brève mention des changements législatifs intervenus.

Tout d’abord, nous soulignons la loi organique 10/2022, du 6 septembre, sur la garantie globale de la liberté sexuelle, entrée en vigueur le 7 octobre 2022, dans laquelle les articles 178 à 183 bis ont été modifiés, les articles 183 ser et 184 quater. ont été supprimés et les articles 190, 191, 194 et 194 bis ont été modifiés.

Deuxièmement, une série d’articles de ladite loi organique 10/2022, du 6 septembre, de garantie globale de la liberté sexuelle, ont été à nouveau modifiés par la loi organique 4/2023, du 27 avril, pour la modification de la loi organique 10/1995, du 23 novembre, du Code Pénal, sur les délits contre la liberté sexuelle, de la Loi de Procédure Pénale et de la Loi Organique 5/2000, du 12 janvier, réglementant la responsabilité pénale des mineurs, en vigueur le 29 avril 2023.

Qu’est-ce qu’un crime d’agression sexuelle ?
« Il s’agit de tout acte qui porte atteinte à la liberté sexuelle d’une autre personne sans son consentement. » L’article 178 du Code pénal, ainsi que les membres suivants du chapitre relatif aux agressions sexuelles, ont été modifiés par la publication de la loi organique 10/2022, du 6 septembre, sur la garantie intégrale de la liberté sexuelle, avec entrée en vigueur en octobre 7, 2022.

Il convient de noter, parmi les nouveautés apportées par la loi organique 10/2022 du 6 septembre, la disparition de la distinction entre agression et abus sexuel, c’est-à-dire que le délit d’abus sexuel cesse d’exister dans notre Code pénal, sexuel. Sont considérés comme agressions tous les comportements qui portent atteinte à la liberté sexuelle sans le consentement de l’autre personne.

Quels aspects doivent être pris en compte du point de vue du bien juridique protégé ?
D’un point de vue dynamique et positif, il fait référence au libre exercice de la liberté sexuelle, sans autres limitations que celles découlant du respect de la liberté d’autrui.

D’un point de vue statique et négatif, il est intégré par le droit de ne pas être impliqué, activement ou passivement, dans la conduite de contenus à caractère sexuel et, surtout, par le droit de repousser les attaques sexuelles contre des tiers.

Quelles sont les modifications du Code pénal après la réforme de la loi « Seul le oui est le oui » ?

a) Article

L’article 2 est modifié pour supprimer la mention initiale de « Aux fins de l’article précédent » pour déterminer que « Dans tous les cas, les actes à contenu sexuel réalisés en utilisant la violence, l’intimidation ou l’abus d’une situation de supériorité ou d’abus seront considérée comme une agression sexuelle. » de vulnérabilité de la victime, ainsi que celles qui sont pratiquées sur des personnes privées de conscience ou dont la situation mentale est maltraitée et celles qui sont pratiquées lorsque la victime a vu son testament annulé pour quelque raison que ce soit.

Un nouvel article 3 est incorporé, l’ancien 3 devenant le nouveau 4, ce nouvel article 3 ayant la rédaction suivante :
« 3. Si l’attaque a été commise avec violence ou intimidation ou contre une victime dont le testament a été annulé pour quelque raison que ce soit, le responsable sera puni d’un à cinq ans de prison.

b) Article 179
Un nouvel article 2 est incorporé à l’article 179 (crime de viol) pour aggraver la peine en cas de recours à la violence ou à l’intimidation ou lorsque la victime a vu son testament annulé pour quelque raison que ce soit, cas dans lesquels la prison la peine varie de 6 à 12 ans, la peine de base étant de 4 à 12 ans.

c) Articles 180 et 181
D’une part, les peines sont adaptées aux types aggravés de l’article 180 du Code pénal, en adaptant les cadres punitifs qui reflètent normativement la plus grande gravité de certains comportements. De même, le problème qui se pose dans les cas aggravés dans lesquels se produisent les mêmes circonstances des modalités typiques prévues aux articles 178 et 179 du Code pénal (article 181.1, 2 et 3 dans le cas des victimes de mineurs) est résolu. .